C'était un petit chaton blanc tigré de gris qui entra dans le bureau du principal, pendant qu'une blondinette attendait dans la salle d'attente, là, le petit annimal commençat son discour.
"C'était un jour d'hiver il me semble... J'étais encore petite à l'époque, vous savez ? Bien sûr que vous savez, c'est vous qui m'avez mit dans ce colis à expédier à Mademoiselle Seikyo, en même temps que ça lettre d'inscription. J'étais endormis quand la blondinette a ouvert la boite. La lumière du jour a fait ouvrir mes petits yeux, c'est alors que je découvrait mon nouveaux maître. Elle devait mesurait un mètre soixante, un peu plus. Ces cheveux blonds tombaient avec élégance sur ces épaules, son nez était à peine retroussé, ses yeux en amande, d'une couleur noisette avec des éclats verts. Oh, je me souviendrait toujours de ce premier regard, si chaleureux, plein d'espoir... Enfin, ces lèvres étaient pulpeuse, mais pas trop, et très bien tracées. Elle était fine, très fine, mais elle avait de belles formes, aussi bien au niveau des hanches que de la poitrine... Voilà la première personne que j'ai vu à mon réveil.
Enfin, quand elle ouvrit la boite, elle me serrât dans ces bras, et me caressa le dessus de la tête, à l'époque, je ne ressemblait qu'à un simple chaton. Le poil blanc et soyeux, parsemé de quelques rayures grises, des yeux bleus cristallins, de petites pattes avec leurs coussinets rosés, qui maintenant s'équipent de jolies petites griffes !! Mais désormais, depuis que mes ailes ont poussée, je m'entraine à les rentrée et sortir, c'est si difficile !! C'est pour cette raison, que je reste en chaton normal. Cela ne vous dérange pas au moins ?
Ho, j'avais oublier, il faut que je vous raconte comment nous avons évolués, ensembles, elle et moi. Dès qu'elle me serra dans les bras, elle me chuchota à l'oreille qu'elle veillerais sur moi toute sa vie, laissant la lettre, pas encore ouverte, sur le coussin qui m'avait servit de lit durant le voyage. Elle me montât dans sa chambre, elle m'installa sur son lit, et descendit en trombe dans l'escalier, le remontant même pas une minute après, mais dès qu'elle fut dans la chambre, elle fit tout en douceur. Elle déposa un panier en osier et y mit un cousin dedans, me disant que ce serait mon lit du week-end, et qu'après quoi, elle m'en achèterait un beaucoup mieux. Il faisait déjà nuit, elle pris le panier et le mit à côté de son lit avant de m'y déposer le plus délicatement possible, elle s'allongea à mes côté et s'endormit avec un sourire béat aux lèvres. Le lendemain, elle se réveilla et enfila rapidement un uniforme scolaire. Une chemise blanche, un jupe à motif écossais noire, des chaussettes blanches avec de la dentelle noire. Ainsi que des chaussures vernies de la même couleur. Elle noua ensuite autour de son cou, une cravate, encore une fois, noire, et s'attachât les cheveux avec un ruban blanc, en une queue de cheval haute. Mais avant qu'elle enfile tout ça, j'avais put voir dans son dos, une énorme marque. Je ne savait pas d'où elle pouvait lui venir, et ce-ci m'intriguait totalement...
Une semaine plus tard, j'étais déjà parfaitement intégrer avec elle, et, au bout d'un mois, elle me confiait tout. Je me souviens, c'était un soir de mars, nous avons eut une discutions des plus intéressantes. Elle me racontât toute sa vie. Elle me dit qu'elle était née un jour d'hiver, que quatre ans plus tard, sa maison avait brûler, ses deux parents étaient mort dans cette catastrophe, et elle, elle c'était faite brûler, d'où sa marque dans le dos. J'étais tellement triste pour elle. Sinon, sa vie n'était pas intéressante. Elle c'est faite adoptée, et a eut du mal à se sociabilité, elle était énormément timide, jusqu'à mon arrivée. Depuis, elle est devenue sociable et extravertie, radieuse de jour en jour. Un peu colérique, certes, mais trop émotive. Je m'attachais à elle, comme elle c'étaita attaché à moi dès le premier jour...
Plus tard, he bien, aujourd'hui, nous somme arrivé dans cet institut. Elle n'a pas tout à fait quinze ans, elle les aura d'ici un mois en tout cas. Et dans moins d'un mois, on aura fait un an de vie commune. Quand elle est arrivée, elle était émerveillée, et, les premières paroles qu'elle eut dit furent "Fini l'uniforme !". Humoristique, n'est ce pas ?"